Ça n'arrête pas, c'est comme une démangeaison aiguë et incontrôlable.
Ça me prend à toute heure du jour, heureusement pas encore de la nuit.
Tricot, crochet, tricot, crochet, tricot, crochet dans tous les sens.
Dernièrement j'ai toujours au moins trois ouvrages différents en cours, et quand un semble presque sur le point d'être terminé bardaf, je lance autre chose, histoire que ça ne s'arrête jamais.
C'est grave?
En fait, le travail du fil (tricot ou crochet), je prends ça comme une respiration, presque de la glande, entre les travaux de couture. Avec la machine à coudre il faut être droit à son poste, concentré derrière la mécanique, alors qu'avec de simples aiguilles je peux me vautrer partout, sur un transat au soleil, dans le divan. Bref, c'est presque de la paresse. Surtout que le rythme est lent, tellement lent. Il faut des plombes pour réaliser quelque chose, ça doit être pour ça que j'entame plusieurs chantiers à la fois, histoire de n'en avoir jamais fini de paresser ?! ;0)
Ça me prend à toute heure du jour, heureusement pas encore de la nuit.
Tricot, crochet, tricot, crochet, tricot, crochet dans tous les sens.
Dernièrement j'ai toujours au moins trois ouvrages différents en cours, et quand un semble presque sur le point d'être terminé bardaf, je lance autre chose, histoire que ça ne s'arrête jamais.
C'est grave?
En fait, le travail du fil (tricot ou crochet), je prends ça comme une respiration, presque de la glande, entre les travaux de couture. Avec la machine à coudre il faut être droit à son poste, concentré derrière la mécanique, alors qu'avec de simples aiguilles je peux me vautrer partout, sur un transat au soleil, dans le divan. Bref, c'est presque de la paresse. Surtout que le rythme est lent, tellement lent. Il faut des plombes pour réaliser quelque chose, ça doit être pour ça que j'entame plusieurs chantiers à la fois, histoire de n'en avoir jamais fini de paresser ?! ;0)
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